Avis de décès de Monsieur jean-yves BROTON
Publié le 26 décembre 2022 à Nice
jean-yves broton
Né le 07 mars 1948
Décédé à Nice
le 26 décembre 2022 à l'âge de 74 ans
le 26 décembre 2022 à l'âge de 74 ans
Faites livrer des fleurs
Planter un arbre
Rendez hommage à jean-yves broton en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
08 00 18 17 00
3 Rue nationale
83310 Cogolin
83310 Cogolin
Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
jean-yves BROTON
survenu le lundi 26 décembre 2022, à l'âge de 74 ans.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de jean-yves.
Avec toute notre affection.
Faites livrer des fleurs
Planter un arbre
Rendez hommage à jean-yves broton en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
Votre message a bien été publié
Votre message a bien été envoyé. Celui-ci sera modéré par notre équipe avant d’être transmis à la famille.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer.
Veuillez remplir les champs ci-dessous pour envoyer vos condoléances à la famille
Rendez hommage à jean-yves et soutenez la famille en laissant un message ou en faisant livrer des fleurs à la cérémonie.
Déposez vos condoléances
Faites livrer des fleurs
Partagez des photos
Plantez un arbre
17 hommages ont été rendus :
Message de Girard Cédric
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je vous présente toutes mes condoléances !! Je suis le fils de Gisèle gaviglio elle m'a dit la disparition de votre frère ! Je vous donne aussi mon numéro 0681899375 pouvez vous me contacter merci "
Message de Ghislaine Gassin
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Jean -Yves, très vite, mais sans bruit, tu es allé rejoindre Genevieve : après 50 ans de vie commune tu la retrouves pour l’eternité !!!
Toujours, dans mes souvenirs votre gentillesse, votre générosité et votre amitié.
Une grande chance de vous avoir connus.
Sincères condoléances aux deux familles
"
Toujours, dans mes souvenirs votre gentillesse, votre générosité et votre amitié.
Une grande chance de vous avoir connus.
Sincères condoléances aux deux familles
"
Message de Frédéric Broton
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Hommage de ton frère, prononcé à la célébration
Notre père en provenance d’Oran était encore en train de faire sécher ses affaires militaires trempées par le débarquement de septembre 44, qu'il rencontrait notre future mère à Gassin au hasard de vendanges pour elle et d’un cantonnement militaire pour lui, attendant de partir plus sombrement vers le front puis Berlin.
Il n'oubliera jamais cette belle jeune fille de 16 ans aux yeux bleus clairs. Il reviendra en permission, puis s'installera définitivement à Cogolin dès la fin de la guerre.
Tu auras, tout comme elle, tout comme moi, ce regard bleu qui illumine et attire tant.
Malgré les ennuis de santé qui s'abattirent dès 46 ensuite sur notre mère, tu naissais en 48 et faisais en tant qu'ainé, le bonheur de nos parents, grand-parents et arrière-grand parents.
4 générations se croisaient sous les mêmes toits, dont l'aieul et celui d’ailleurs qui vécut le plus longtemps, grand-tonton Firmin.
Firmin, dit tonton Mu, que le sort avait privé d'audition et de parole, mais qui avait pour compenser, une très bonne intelligence. Il aimait s'occuper de toi, qui était le petit-fils qu'il n'avait pas pu avoir.
Quand ca bardait trop fort chez nos parents, tu courais bien vite à 2 maisons de là, chez nos grand-parents que tu adorais et qui étaient ton refuge.
Tout ce bonheur allait ensuite s'estomper petit à petit avec en 62 la fin de la génération la plus ancienne par la disparition de grand-tonton Mu.
En 64, ce fut pour tes études secondaires, l'envoi déchirant au pensionnat à Lorgues, afin de te former aux métiers d'avenir comme dessinateur industriel. Mais étudier, et ce métier en particulier, ne te passionnaient pas.
En 65, il y eu l'arrivée surprise de ce qui allait devenir ton frère, avec 17 ans d'écart. Ceci modifia la donne pour nos parents qui se retrouvèrent avec 2 bouches à nourrir.
En 67, notre père te fit engager dans l'armée à Lyon pour que tu ais un destin tout tracé, comme ses espoirs de te voir devenir architecte ou dessinateur avaient été douchés.
Tu y deviendras, au prix de beaucoup d'efforts, brigadier-chef puis chauffeur de hauts gradés. Mais là aussi, ce n'était pas ton destin et le divorce avec la grande muette fut prononcé en 70.
Tu en garderas néanmoins le souvenir d'y avoir passé ton permis.
Bien avant ce permis, tu avais eu tes années mobylette, offerte par nos grand-parents, plus quelques escapades dans Cogolin avec ton copain Maurice, au volant de la 2CV familiale, empruntée en douce, passant sous le nez et à la barbe de la maréchaussée.
Tu ne quitteras pourtant pas Lyon de suite comme il y avait la cantinière qui t'y avait recueilli pendant l’armée pour te mitonner déjà de bons petits plats, Mme Fargeot, qui n'étaient autre que la belle-mère de ta tante et marraine Jeannette.
Tu continueras à faire la navette entre Lyon et Cogolin.
Cogolin justement, où durant l'été 70, sur la route de la Môle, dans l'établissement festif bien connu des locaux, Lou Magnan, entre toutes les autres, tu apercevras une jolie petite silhouette frèle qui n'allait plus jamais te quitter: Geneviève. A cette époque tu travaillais au Magnan et cela facilitait bien les choses pour vous y voir.
Mais en dehors de la saison estivale, il fallait bien aller retravailler à Lyon où tu fis un certain nombre de petits boulots. A cette époque c'était heureusement le plein emploi.
Ta belle finit par te rejoindre à Lyon, tu eus un travail plus stable, elle commença dans la coiffure et un cercle d'amis se forma autour de vous. Autant de réjouissances en perspective.
Le 4 juillet 1972, vous vous marierez, en cercle très restreint sans inviter les familles comme il s'agissait surtout d'optimisation fiscale, au grand dam de vos proches qui attendaient une célébration moins intime.
Mais Lyon ce n'est plus la provence, on y entend peu les cigales et encore moins les voix des mamans.
Ton beau-père Marius disparut début 74.
La raison finit par l'emporter, et ce même début 74, vous reviendrez dans la région, à Fréjus, aux Tamaris dans le quartier de la Gabelle où une partie de la famille de notre grand-tante Fantino-Cardella habitait déjà.
Toute la famille se mobilisa pour vous aider, soit à vous installer, soit à trouver le premier travail.
Pour Geneviève, cela allait toujours être la coiffure, avec sa patronne Arlette, qu'elle n'allait plus jamais quitter jusqu’à ce que la mort les sépare. Ce fut un métier qui lui permit de connaitre beaucoup de monde et beaucoup de petits secrets.
Pour toi, Jean-Yves, cela allait être les meubles, en rentrant chez Resplandin - Mobilier de France.
Vous alliez ainsi pouvoir être plus proche de ta belle-mère Simone, durant les 20 ans qui suivirent, jusqu'à sa disparition prématurée.
En 1981, vous investirez dans ce qui sera votre havre de paix définitif, les Enganes, juste en face de l'hôpital, mais vous ne pensiez pas devoir y séjourner si tôt.
En 1993, suite à la faillite locale de ton patron, tu as dû te reconvertir, mais tu ne t'éloigneras pas beaucoup de ton ancien travail, en restant dans l'aménagement d'intérieur et la rénovation.
De 2005 à 2019, il fallut ensuite vous occuper de notre père puis de notre mère, autant de temps confisqué, de fatigue, et de tracas supplémentaires pour vous.
De toutes ces années que nous avons partagées, il me restera d'intenses souvenirs, car nous avons dû affronter des évènements indépendants de notre volonté.
Il y a déjà eu le timing. Nous n'avons été frères que sur le livret de famille au départ. Quand je vins au monde, tu étais plus ou moins parti, poussé dans l’armée par notre père.
Avant mes 10 ans, je n'ai que de rares souvenirs photographiques où on est ensemble. La notion de ce qu’était un frère m’était alors assez nébuleuse. A l'école, en début d’année, je mettais 1 dans la case nombre de frères et soeurs, à défaut de pouvoir mettre 1 dans la case nombre de frères portés disparus.
Il y eu ensuite les histoires de famille qui nous dépassaient, tels que la brouille définitive de notre père et notre grand-père, puis la brouille de notre grand-père et de sa sœur.
Ce n'est qu'à partir de mes 10 ans et de ton retour définitif dans la région, que la notion de ce qu’était un frère me devint plus claire et qu'on a enfin pu se rapprocher durant les merveilleuses 15 années qui suivirent.
L'écart d'âge, le fait que j'apprenne surtout à te connaitre alors que tu étais déjà marié, et que tu n’ais jamais eu d’enfant, ont fait qu’en plus du rôle de frère tu endossais aussi un peu le rôle de guide voir de père de substitution quand nous étions ensemble. Les souvenirs de fratrie sont en général parsemés de bêtises faites et de disputes. Pas chez nous: tu étais droit et je te respectai bien trop.
Notre relation de frères finit de se forger avec les nombreux weekend à la plage, les réunions familiales, la construction de l’appartement des parents, puis mes 5 années d’études à Lyon où vous n’hésitiez pas pour revenir voir votre ville lumière..
La suite fut assez classique : chacun de nous suivant sa propre vie, avec son couple, ses amis, ses occupations, tout en se ménageant plusieurs semaines l’été pour se retrouver, année après année.
J’ai eu la possibilité de pouvoir vous aider dans la trop brève dernière ligne droite de votre vie et n’ai pas hésité une seconde devant la tragédie annoncée.
J'ai perdu beaucoup plus qu’une belle-sœur et un frère ce mois décembre 2022. J’ai perdu mes 2eme parents.
Tu es parti bien trop tôt, mais au moins tu as fini de souffrir et de t’inquiéter ; tu vas revoir ta belle, elle n’a du beaucoup changer en étant partie juste 17 jours avant toi.
Encore ce nombre 17.
Reposes en paix, Jean-Yves.
"
Notre père en provenance d’Oran était encore en train de faire sécher ses affaires militaires trempées par le débarquement de septembre 44, qu'il rencontrait notre future mère à Gassin au hasard de vendanges pour elle et d’un cantonnement militaire pour lui, attendant de partir plus sombrement vers le front puis Berlin.
Il n'oubliera jamais cette belle jeune fille de 16 ans aux yeux bleus clairs. Il reviendra en permission, puis s'installera définitivement à Cogolin dès la fin de la guerre.
Tu auras, tout comme elle, tout comme moi, ce regard bleu qui illumine et attire tant.
Malgré les ennuis de santé qui s'abattirent dès 46 ensuite sur notre mère, tu naissais en 48 et faisais en tant qu'ainé, le bonheur de nos parents, grand-parents et arrière-grand parents.
4 générations se croisaient sous les mêmes toits, dont l'aieul et celui d’ailleurs qui vécut le plus longtemps, grand-tonton Firmin.
Firmin, dit tonton Mu, que le sort avait privé d'audition et de parole, mais qui avait pour compenser, une très bonne intelligence. Il aimait s'occuper de toi, qui était le petit-fils qu'il n'avait pas pu avoir.
Quand ca bardait trop fort chez nos parents, tu courais bien vite à 2 maisons de là, chez nos grand-parents que tu adorais et qui étaient ton refuge.
Tout ce bonheur allait ensuite s'estomper petit à petit avec en 62 la fin de la génération la plus ancienne par la disparition de grand-tonton Mu.
En 64, ce fut pour tes études secondaires, l'envoi déchirant au pensionnat à Lorgues, afin de te former aux métiers d'avenir comme dessinateur industriel. Mais étudier, et ce métier en particulier, ne te passionnaient pas.
En 65, il y eu l'arrivée surprise de ce qui allait devenir ton frère, avec 17 ans d'écart. Ceci modifia la donne pour nos parents qui se retrouvèrent avec 2 bouches à nourrir.
En 67, notre père te fit engager dans l'armée à Lyon pour que tu ais un destin tout tracé, comme ses espoirs de te voir devenir architecte ou dessinateur avaient été douchés.
Tu y deviendras, au prix de beaucoup d'efforts, brigadier-chef puis chauffeur de hauts gradés. Mais là aussi, ce n'était pas ton destin et le divorce avec la grande muette fut prononcé en 70.
Tu en garderas néanmoins le souvenir d'y avoir passé ton permis.
Bien avant ce permis, tu avais eu tes années mobylette, offerte par nos grand-parents, plus quelques escapades dans Cogolin avec ton copain Maurice, au volant de la 2CV familiale, empruntée en douce, passant sous le nez et à la barbe de la maréchaussée.
Tu ne quitteras pourtant pas Lyon de suite comme il y avait la cantinière qui t'y avait recueilli pendant l’armée pour te mitonner déjà de bons petits plats, Mme Fargeot, qui n'étaient autre que la belle-mère de ta tante et marraine Jeannette.
Tu continueras à faire la navette entre Lyon et Cogolin.
Cogolin justement, où durant l'été 70, sur la route de la Môle, dans l'établissement festif bien connu des locaux, Lou Magnan, entre toutes les autres, tu apercevras une jolie petite silhouette frèle qui n'allait plus jamais te quitter: Geneviève. A cette époque tu travaillais au Magnan et cela facilitait bien les choses pour vous y voir.
Mais en dehors de la saison estivale, il fallait bien aller retravailler à Lyon où tu fis un certain nombre de petits boulots. A cette époque c'était heureusement le plein emploi.
Ta belle finit par te rejoindre à Lyon, tu eus un travail plus stable, elle commença dans la coiffure et un cercle d'amis se forma autour de vous. Autant de réjouissances en perspective.
Le 4 juillet 1972, vous vous marierez, en cercle très restreint sans inviter les familles comme il s'agissait surtout d'optimisation fiscale, au grand dam de vos proches qui attendaient une célébration moins intime.
Mais Lyon ce n'est plus la provence, on y entend peu les cigales et encore moins les voix des mamans.
Ton beau-père Marius disparut début 74.
La raison finit par l'emporter, et ce même début 74, vous reviendrez dans la région, à Fréjus, aux Tamaris dans le quartier de la Gabelle où une partie de la famille de notre grand-tante Fantino-Cardella habitait déjà.
Toute la famille se mobilisa pour vous aider, soit à vous installer, soit à trouver le premier travail.
Pour Geneviève, cela allait toujours être la coiffure, avec sa patronne Arlette, qu'elle n'allait plus jamais quitter jusqu’à ce que la mort les sépare. Ce fut un métier qui lui permit de connaitre beaucoup de monde et beaucoup de petits secrets.
Pour toi, Jean-Yves, cela allait être les meubles, en rentrant chez Resplandin - Mobilier de France.
Vous alliez ainsi pouvoir être plus proche de ta belle-mère Simone, durant les 20 ans qui suivirent, jusqu'à sa disparition prématurée.
En 1981, vous investirez dans ce qui sera votre havre de paix définitif, les Enganes, juste en face de l'hôpital, mais vous ne pensiez pas devoir y séjourner si tôt.
En 1993, suite à la faillite locale de ton patron, tu as dû te reconvertir, mais tu ne t'éloigneras pas beaucoup de ton ancien travail, en restant dans l'aménagement d'intérieur et la rénovation.
De 2005 à 2019, il fallut ensuite vous occuper de notre père puis de notre mère, autant de temps confisqué, de fatigue, et de tracas supplémentaires pour vous.
De toutes ces années que nous avons partagées, il me restera d'intenses souvenirs, car nous avons dû affronter des évènements indépendants de notre volonté.
Il y a déjà eu le timing. Nous n'avons été frères que sur le livret de famille au départ. Quand je vins au monde, tu étais plus ou moins parti, poussé dans l’armée par notre père.
Avant mes 10 ans, je n'ai que de rares souvenirs photographiques où on est ensemble. La notion de ce qu’était un frère m’était alors assez nébuleuse. A l'école, en début d’année, je mettais 1 dans la case nombre de frères et soeurs, à défaut de pouvoir mettre 1 dans la case nombre de frères portés disparus.
Il y eu ensuite les histoires de famille qui nous dépassaient, tels que la brouille définitive de notre père et notre grand-père, puis la brouille de notre grand-père et de sa sœur.
Ce n'est qu'à partir de mes 10 ans et de ton retour définitif dans la région, que la notion de ce qu’était un frère me devint plus claire et qu'on a enfin pu se rapprocher durant les merveilleuses 15 années qui suivirent.
L'écart d'âge, le fait que j'apprenne surtout à te connaitre alors que tu étais déjà marié, et que tu n’ais jamais eu d’enfant, ont fait qu’en plus du rôle de frère tu endossais aussi un peu le rôle de guide voir de père de substitution quand nous étions ensemble. Les souvenirs de fratrie sont en général parsemés de bêtises faites et de disputes. Pas chez nous: tu étais droit et je te respectai bien trop.
Notre relation de frères finit de se forger avec les nombreux weekend à la plage, les réunions familiales, la construction de l’appartement des parents, puis mes 5 années d’études à Lyon où vous n’hésitiez pas pour revenir voir votre ville lumière..
La suite fut assez classique : chacun de nous suivant sa propre vie, avec son couple, ses amis, ses occupations, tout en se ménageant plusieurs semaines l’été pour se retrouver, année après année.
J’ai eu la possibilité de pouvoir vous aider dans la trop brève dernière ligne droite de votre vie et n’ai pas hésité une seconde devant la tragédie annoncée.
J'ai perdu beaucoup plus qu’une belle-sœur et un frère ce mois décembre 2022. J’ai perdu mes 2eme parents.
Tu es parti bien trop tôt, mais au moins tu as fini de souffrir et de t’inquiéter ; tu vas revoir ta belle, elle n’a du beaucoup changer en étant partie juste 17 jours avant toi.
Encore ce nombre 17.
Reposes en paix, Jean-Yves.
"
Message de Barety René
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Sincères condoléances.
Suzanne et René Barety "
Suzanne et René Barety "
Message de Pierre Cherkaoui et Clément Bedie
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous vous oublirons jamais Geneviève et Jean Yves merci de vous avoir connu les souvenirs reste et surtout merci de vos connaissances dans la vie reposer en paix et toutes nos condoléances à vos familles "
Message de Nathalie
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Jean Yves, c est avec beaucoup de peine que j écris ces quelques lignes . Vous m avez accueilli tous les deux Avec tellement de gentillesse ... toujours présent dans les moments heureux et difficiles de notre vie. Vous êtes aujourd'hui réunis et apaisés . On vous aimes fort Nathalie et Didou "
Message de Anne-Marie et Marcel Nadal
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Jean-Yves, tu resteras dans mon cœur mon grand cousin de Cogolin, chez qui, étant enfant je venais tous les étés en vacances avec mes parents.
Plein de souvenirs bien sûr datent de cette lointaine époque. Plus tard, avec Geneviève toute jeune, vous avez vécu à Lyon chez ma grand-mère, et là encore nous avons partagé de très bons moments.
C'est une grande peine pour Marcel et moi de te savoir parti si vite, des regrets aussi de ne pas avoir appelé plus souvent ces derniers temps, de ne pas être venus vous rendre visite à Geneviève et toi.
Nos pensées vous accompagnent, repose en paix avec Geneviève.
Anne-Marie et Marcel "
Plein de souvenirs bien sûr datent de cette lointaine époque. Plus tard, avec Geneviève toute jeune, vous avez vécu à Lyon chez ma grand-mère, et là encore nous avons partagé de très bons moments.
C'est une grande peine pour Marcel et moi de te savoir parti si vite, des regrets aussi de ne pas avoir appelé plus souvent ces derniers temps, de ne pas être venus vous rendre visite à Geneviève et toi.
Nos pensées vous accompagnent, repose en paix avec Geneviève.
Anne-Marie et Marcel "
Message de Simon. Ben fatoma
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je présente mes condoléances à Mr Broton Frédéric frère du défunt Mr Broton Jean Yves, qu'il puisse reposer en paix.
De tout cœur avec vous pour ces moments douloureux.
Simon "
De tout cœur avec vous pour ces moments douloureux.
Simon "
Message de Nicolas Broton
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Tonton,
On ne se parlait plus, et ne nous sommes jamais réellement parlés à vrai dire, mais ta disparition m'a touché, car elle affecte quelqu'un à qui je tiens, et avec qui je n'ai jamais réellement parlé non plus.
Je suis certain que tout va beaucoup mieux depuis que vous vous êtes retrouvés avec Tata, et que même si vous ne nous portiez plus dans vos coeurs ou esprits, je me souviendrai jusqu'à la fin de ma vie de vos visages, de nos rires, de nos repas et de nos sorties, qui furent les meilleurs moments des étés de notre jeunesse.
Vous ne méritiez pas la distance qu'il y avait entre nous, et bien que de nature pragmatique, j'espère que mes pensées ou ces caractères digitaux vous parviendront là-haut.
Reposez en paix,
Nicolas "
On ne se parlait plus, et ne nous sommes jamais réellement parlés à vrai dire, mais ta disparition m'a touché, car elle affecte quelqu'un à qui je tiens, et avec qui je n'ai jamais réellement parlé non plus.
Je suis certain que tout va beaucoup mieux depuis que vous vous êtes retrouvés avec Tata, et que même si vous ne nous portiez plus dans vos coeurs ou esprits, je me souviendrai jusqu'à la fin de ma vie de vos visages, de nos rires, de nos repas et de nos sorties, qui furent les meilleurs moments des étés de notre jeunesse.
Vous ne méritiez pas la distance qu'il y avait entre nous, et bien que de nature pragmatique, j'espère que mes pensées ou ces caractères digitaux vous parviendront là-haut.
Reposez en paix,
Nicolas "
Message de Isabelle Deltor
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" À Fred, désormais seul,
au peu de famille restant,
À des amis
Je veux juste vous envoyer des pensées et toute ma prière.
Jean Yves était et restera mon beau frère.. Peu mais de bons moments de partage autour d'un verre de rosé.. Pensées emues "
au peu de famille restant,
À des amis
Je veux juste vous envoyer des pensées et toute ma prière.
Jean Yves était et restera mon beau frère.. Peu mais de bons moments de partage autour d'un verre de rosé.. Pensées emues "
Message de Océane
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Très cher Jean-Yves,
Tu n’auras pas mis bien longtemps à rejoindre ta douce! Heureuse que la vie vous ai mis Geneviève et toi sur mon chemin, je penserai souvent à vous. Oceane "
Tu n’auras pas mis bien longtemps à rejoindre ta douce! Heureuse que la vie vous ai mis Geneviève et toi sur mon chemin, je penserai souvent à vous. Oceane "
Message de Marie-France et Michel Melot
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous vous adressons nos sincères condoléances. Nous garderons un bon souvenir de Geneviève et Jean-Yves. Nous vous souhaitons bon courage dans cette douloureuse épreuve.
Marie-France et Michel amis de la Mayenne "
Marie-France et Michel amis de la Mayenne "
Message de Brigitte et Jean Michel Dei Aguila
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous sommes touchés par la disparition de Jean Yves juste après son épouse. Nous les avons beaucoup fréquentés dans la famille Dalmasso .ils sont unis à jamais . Nous vous adressons toutes nos plus sincères condoléances et nos pensées émues. "
Message de Frédéric Broton
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Trop démoli par les effets secondaires des traitements contre cette maladie et trop anéanti de voir celle que tu aimais devoir renoncer au combat, tu es parti beaucoup trop tôt et trop précipitamment. La récidive détectée cet automne aura été trop sournoise, d'autant qu'elle s'est réabbattu sur vous 2 en même temps.
Nous étions une fratie très particulière du fait de notre grand écart d'age et de notre grande taisi-tude. Tu étais le grand frère, le guide, presque un 2eme père pour moi. Tout ceci nous permis de ne jamais nous disputer, tout en étant unis comme les doigts d'une seule main, par notre même sang. Nos vies nous ont séparé, mais on s'est mutuellement aidé quand l'un avait besoin de l'autre. J'ai juste l'énorme amertume de ne pas avoir eu le temps de t'aider plus longtemps quand tu eus besoin de moi après la disparition de ta belle. Te connaissant, tu dois aussi avoir cette amertume d'être parti si vite, on aurait pu profiter de se retrouver pendant de longs mois, sinon.
Reposes en paix ô mon frère adoré "
Nous étions une fratie très particulière du fait de notre grand écart d'age et de notre grande taisi-tude. Tu étais le grand frère, le guide, presque un 2eme père pour moi. Tout ceci nous permis de ne jamais nous disputer, tout en étant unis comme les doigts d'une seule main, par notre même sang. Nos vies nous ont séparé, mais on s'est mutuellement aidé quand l'un avait besoin de l'autre. J'ai juste l'énorme amertume de ne pas avoir eu le temps de t'aider plus longtemps quand tu eus besoin de moi après la disparition de ta belle. Te connaissant, tu dois aussi avoir cette amertume d'être parti si vite, on aurait pu profiter de se retrouver pendant de longs mois, sinon.
Reposes en paix ô mon frère adoré "
Message de Boulliat Marcel et Marilou
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Jean Yves , tu as rejoint Geneviève , tu vas nous manquer.
Nos pensées et nos prières accompagnent ton frère Frédéric
et sa famille à qui nous présentons nos sincères condoléances.
Avec toute notre amitié
Marcel Marilou "
Nos pensées et nos prières accompagnent ton frère Frédéric
et sa famille à qui nous présentons nos sincères condoléances.
Avec toute notre amitié
Marcel Marilou "
Message de DALMASSO jean Marc et Christine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Très sincères condoléances à toute la famille pour le décès de Jean Yves qui restera dans nos souvenirs de partage d'amitié lors de repas avec mes parents et famille DALMASSO ainsi que Genevieve disparue également trop rapidement et trop jeune. Courage à vous. Très cordialement "
Message de Dominique & Gérard Leroux-Campello
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" En tant que voisins proches nous apprécions beaucoup Genevieve et Jean-Yves, pendant les étés que nous passions a Cogolin. Nous sommes de tout coeur avec la famille pour partager la grande tristesse de leurs départs.
les Nantais. "
les Nantais. "