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Avis de décès de Monsieur Jacques CHATARD
Publié le 14 mai 2024 à hyères
Jacques CHATARD
Né le 29 juillet 1945
Décédé à hyères
le 14 mai 2024 à l'âge de 78 ans
Domicilié à Thonon les bains
le 14 mai 2024 à l'âge de 78 ans
Faites livrer des fleurs
Planter un arbre
Rendez hommage à Jacques CHATARD en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
08 00 18 17 00
Avenue des Ilaires le Santa Cruz
83980 Le Lavandou
83980 Le Lavandou
Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
Jacques CHATARD
survenu le mardi 14 mai 2024,
à l'âge de 78 ans.
La cérémonie religieuse aura lieu
le mercredi 22 mai 2024 à 15 heures 00
à l'adresse suivante :
Paroisse Saint-Louis, Rue du Port, Le Lavandou, France.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de Jacques.
Avec toute notre affection.
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Rendez hommage à Jacques CHATARD en plantant un arbre en sa mémoire
Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
Déroulement des funérailles de Monsieur Jacques CHATARD
1
Mise en bière
Le mercredi 22 mai 2024
à 14h00
Chambre Funéraire De Bormes Les Mimosas
629 Boulevard du Levant, 83230 Bormes Les Mimosas
629 Boulevard du Levant, 83230 Bormes Les Mimosas
2
Cérémonie Religieuse
Le mercredi 22 mai 2024
à 15h00
Paroisse Saint-Louis
Rue du Port, 83980 Le Lavandou
Rue du Port, 83980 Le Lavandou
3
Crémation
Le mercredi 22 mai 2024
à 17h30
Crématorium De Cuers
Rue du souvenir français 39, 83390 Cuers
Rue du souvenir français 39, 83390 Cuers
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17 hommages ont été rendus :
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le mercredi 11 septembre 2024 à 20h19
" Aujourd'hui, je fête l'anniversaire du début de l'agonie d'un pauvre type doublé d'un salaud que toute sa famille a laissé crever dans la solitude la plus totale. Jacques Chatard, c'est à la fois un échec et une erreur qui n'aurait jamais du exister. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le vendredi 21 juin 2024 à 09h55
" Jacques Chatard ou comment devenir un raté toxique pour les autres.
Souterrain étage -1 : l’exclusion volontaire
Trouvant le monde laid il a refusé la distance entre la réalité et son idéal. Il a radicalisé son idéal en plongeant dans son imaginaire. Il ne vit plus ce qui est mais ce qui devrait être. Il s’exclut volontairement du monde en laissant le train de la réalité partir sans lui au lieu de négocier avec l’imperfection du réel.
Un médiocre qui a refusé son droit à la médiocrité. Il n’accepte pas que le réel soit parfois pitoyable. La médiocrité est une attaque directe à son égo. Il fuit la confrontation avec le monde de toutes les manières possibles et imaginables. Lentement il se décolle de la vie pour la vie narrée. La porte du prochain souterrain est une exaltation romanesque butée.
Souterrain étage -2 : le plaisir secret.
Ici, il commence à arriver dans une profondeur problématique. Chaque petit rappel du caractère décevant de la réalité devient pour lui une douleur permanente. Il ne lutte pas, il aime son malheur. Il prend un immense plaisir dans le rejet de la réalité, peste sur tout le monde, méprise tout et jouit secrètement de cette posture d’exclu rabougri. Pourquoi changerait-il ? Ce serait trop douloureux alors que son amour propre est suffisamment fort pour lui faire aimer sa propre déliquescence. Capricieux dans son malheur, il peut se sentir différent des autres voir même au dessus des autres. Son exclusion devient son beau privilège. Il peut voir les autres, comme une espèce inferieure manquant de raffinement et pour laquelle le bonheur est un privilège d’imbécile : voila ce qu’il finit par se dire au fond de sa cave. Et à partir de ce moment, la porte du souterrain commence à se refermer.
Souterrain étage -3 : l’homme indirect.
On arrive au début de la boue. Il adore son rôle de parasite invisible mais plus il prend racine au fond de sa cave, moins il devient capable d’agir dans le monde. Il devient ce que l’on pourrait appeler « un homme indirect ». Toute son énergie monte vers sa tète, il ne possède plus aucune spontanéité. Il se désadapte de la vie. La moindre rencontre avec un inconnu ou une vague connaissance devient pour lui une torture des nerfs. Il est perpétuellement crispé, criblé de tensions et d’inhibitions contenues, de renoncement et de remords.
Il développe une paranoïa sociale. Il doit réfléchir à toute situation sociale et passe davantage de temps à se demander comment il convient de se comporter qu’à se laisser emporter par la passion de la vie. Il est toujours inquiet de son image mais ne fait pourtant rien pour la redorer. Son esprit enfle tout, il vit dans un fantasme permanent de sa propre importance. Toute spontanéité le quitte, toute situation sociale mobilise ses neurones comme aucun autre travail intellectuel. Il s’invente des ennemis imaginaires, des adversaires qui ignorent tout de son existence. Il en fait des totems qui portent toute sa rage. Tout son être ressasse sa vengeance contre le monde qui l’a exclu ou qui n’a pas su le reconnaitre à sa juste valeur.
Mais bien qu’il ne l’admette pas, cette posture est encore la moins douloureuse. Il s’ennuie et doit bien occuper son esprit. Alors il s’invente mille et une fictions mais en réalité sa gentillesse est sans élan, sa rage est muette et sans fureur, son amour est sans naturel, son énervement est immobile : il ne vit plus sa vie, il l’a pense. Il boue sur place mais ne peut rien faire d’autre : il n’a plus de moyens d’action dans le monde et se ridiculiserait s’il osait tenter quelque chose.
Et pourtant, il jouit de cette situation. Son destin est d’être un homme crispé, revanchard et raté. Voilà toute la volupté de la peine sans responsable qui l’entoure et le réconforte.
« Je suis un raté car trop bon pour le monde »… Laissons-lui cette dernière croyance réconfortante et voyons ce qui l’attend au fond de son souterrain.
Souterrain étage -4 : la fosse.
D’ici, on ne remonte jamais : on y est insignifiant.
Finalement une solitude pesante s’installe que l’homme des souterrains déteste autant qu’il l’aime. Mais ce qui lui pèse ultimement, ce n’est pas d’être seul. Le sol de sa cave, c’est autre chose : c’est de la non considération. Voila comment briser définitivement un homme, comment gâcher une vie entière : en lui retirant toute considération. Ce n’est pas la haine qui brise un homme. Pas même la critique ou l’exclusion. C’est l’indifférence généralisée à tout son être. Un homme ratatiné, seul dans son esprit et ses pensées mauvaises, a toujours cependant besoin d’une chose : qu’on réagisse à son existence. Il ne cherche pas l’approbation ou l’amour. Il s’est rabattu sur des sentiments moins luxuriants : la haine, la véhémence, l’insulte, etc. Il veut qu’on lui rappelle qu’il est vivant même avec un gifle ou une insulte : même ça il prend. Au moins il saura pendant quelques instants que sa vie a une incidence qui occupe les pensées d’un autre être.
Voilà ce dont tout humain a ultimement besoin : être considéré, pris en compte, savoir qu’il existe dans la vie des autres. Et pour assouvir cet ultime besoin physiologique récalcitrant, l’homme du souterrain sera prêt à tout. Il mettra en place des stratégies pour provoquer des conflits, sera inutilement clivant et vulgaire, provoquera la discorde, agissant comme un préadolescent, il sera mauvais mais il veut se sentir exister par tous les moyens. Il peut tout pardonner sauf qu’on ne le remarque pas. Alors il nuit pour se sentir vivant. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, il nuit pour se relier aux autres, au vivant ou à la vie. C’est l’insignifiance ressentie qui transforme un homme en monstre, qui en plus de lui faire rater sa vie, en fait un être mauvais pour autrui. "
Souterrain étage -1 : l’exclusion volontaire
Trouvant le monde laid il a refusé la distance entre la réalité et son idéal. Il a radicalisé son idéal en plongeant dans son imaginaire. Il ne vit plus ce qui est mais ce qui devrait être. Il s’exclut volontairement du monde en laissant le train de la réalité partir sans lui au lieu de négocier avec l’imperfection du réel.
Un médiocre qui a refusé son droit à la médiocrité. Il n’accepte pas que le réel soit parfois pitoyable. La médiocrité est une attaque directe à son égo. Il fuit la confrontation avec le monde de toutes les manières possibles et imaginables. Lentement il se décolle de la vie pour la vie narrée. La porte du prochain souterrain est une exaltation romanesque butée.
Souterrain étage -2 : le plaisir secret.
Ici, il commence à arriver dans une profondeur problématique. Chaque petit rappel du caractère décevant de la réalité devient pour lui une douleur permanente. Il ne lutte pas, il aime son malheur. Il prend un immense plaisir dans le rejet de la réalité, peste sur tout le monde, méprise tout et jouit secrètement de cette posture d’exclu rabougri. Pourquoi changerait-il ? Ce serait trop douloureux alors que son amour propre est suffisamment fort pour lui faire aimer sa propre déliquescence. Capricieux dans son malheur, il peut se sentir différent des autres voir même au dessus des autres. Son exclusion devient son beau privilège. Il peut voir les autres, comme une espèce inferieure manquant de raffinement et pour laquelle le bonheur est un privilège d’imbécile : voila ce qu’il finit par se dire au fond de sa cave. Et à partir de ce moment, la porte du souterrain commence à se refermer.
Souterrain étage -3 : l’homme indirect.
On arrive au début de la boue. Il adore son rôle de parasite invisible mais plus il prend racine au fond de sa cave, moins il devient capable d’agir dans le monde. Il devient ce que l’on pourrait appeler « un homme indirect ». Toute son énergie monte vers sa tète, il ne possède plus aucune spontanéité. Il se désadapte de la vie. La moindre rencontre avec un inconnu ou une vague connaissance devient pour lui une torture des nerfs. Il est perpétuellement crispé, criblé de tensions et d’inhibitions contenues, de renoncement et de remords.
Il développe une paranoïa sociale. Il doit réfléchir à toute situation sociale et passe davantage de temps à se demander comment il convient de se comporter qu’à se laisser emporter par la passion de la vie. Il est toujours inquiet de son image mais ne fait pourtant rien pour la redorer. Son esprit enfle tout, il vit dans un fantasme permanent de sa propre importance. Toute spontanéité le quitte, toute situation sociale mobilise ses neurones comme aucun autre travail intellectuel. Il s’invente des ennemis imaginaires, des adversaires qui ignorent tout de son existence. Il en fait des totems qui portent toute sa rage. Tout son être ressasse sa vengeance contre le monde qui l’a exclu ou qui n’a pas su le reconnaitre à sa juste valeur.
Mais bien qu’il ne l’admette pas, cette posture est encore la moins douloureuse. Il s’ennuie et doit bien occuper son esprit. Alors il s’invente mille et une fictions mais en réalité sa gentillesse est sans élan, sa rage est muette et sans fureur, son amour est sans naturel, son énervement est immobile : il ne vit plus sa vie, il l’a pense. Il boue sur place mais ne peut rien faire d’autre : il n’a plus de moyens d’action dans le monde et se ridiculiserait s’il osait tenter quelque chose.
Et pourtant, il jouit de cette situation. Son destin est d’être un homme crispé, revanchard et raté. Voilà toute la volupté de la peine sans responsable qui l’entoure et le réconforte.
« Je suis un raté car trop bon pour le monde »… Laissons-lui cette dernière croyance réconfortante et voyons ce qui l’attend au fond de son souterrain.
Souterrain étage -4 : la fosse.
D’ici, on ne remonte jamais : on y est insignifiant.
Finalement une solitude pesante s’installe que l’homme des souterrains déteste autant qu’il l’aime. Mais ce qui lui pèse ultimement, ce n’est pas d’être seul. Le sol de sa cave, c’est autre chose : c’est de la non considération. Voila comment briser définitivement un homme, comment gâcher une vie entière : en lui retirant toute considération. Ce n’est pas la haine qui brise un homme. Pas même la critique ou l’exclusion. C’est l’indifférence généralisée à tout son être. Un homme ratatiné, seul dans son esprit et ses pensées mauvaises, a toujours cependant besoin d’une chose : qu’on réagisse à son existence. Il ne cherche pas l’approbation ou l’amour. Il s’est rabattu sur des sentiments moins luxuriants : la haine, la véhémence, l’insulte, etc. Il veut qu’on lui rappelle qu’il est vivant même avec un gifle ou une insulte : même ça il prend. Au moins il saura pendant quelques instants que sa vie a une incidence qui occupe les pensées d’un autre être.
Voilà ce dont tout humain a ultimement besoin : être considéré, pris en compte, savoir qu’il existe dans la vie des autres. Et pour assouvir cet ultime besoin physiologique récalcitrant, l’homme du souterrain sera prêt à tout. Il mettra en place des stratégies pour provoquer des conflits, sera inutilement clivant et vulgaire, provoquera la discorde, agissant comme un préadolescent, il sera mauvais mais il veut se sentir exister par tous les moyens. Il peut tout pardonner sauf qu’on ne le remarque pas. Alors il nuit pour se sentir vivant. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, il nuit pour se relier aux autres, au vivant ou à la vie. C’est l’insignifiance ressentie qui transforme un homme en monstre, qui en plus de lui faire rater sa vie, en fait un être mauvais pour autrui. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le mardi 18 juin 2024 à 21h18
" Une brève histoire de la fin de vie de jacques chatard
Fin septembre 2023, hospitalisation pour cancer du poumon en phase 4, il n'est déjà plus capable de marcher plus de 100 mètres.
Il sort de l'hôpital 6 semaines plus tard, retourne dans son domicile à Thonon. Le mercredi, il prend un taxi seul pour aller faire de la chimiothérapie.
Mi mars à début avril, il n'a plus le courage de suivre la chimio et se laisse mourir de faim chez lui.
Pendant cette période de 6 mois, personne ne s'est déplacé pour lui rendre visite ou l'aider alors que toute la famille connaissait son état de santé hormis:
- Barbara Gorjux et moi même: 4 visites en 6 mois seulement.
Début avril, il est hospitalisé dans un état critique. Comme par magie, beaucoup se déplacent à Thonon pour voir un cadavre sur son lit d'hôpital (ou pour préparer sa succession, organiser une messe contre sa volonté):
- son ex femme Michele chatard
- sa fille marie line couture
- sa maitresse micheline Dizma "
Fin septembre 2023, hospitalisation pour cancer du poumon en phase 4, il n'est déjà plus capable de marcher plus de 100 mètres.
Il sort de l'hôpital 6 semaines plus tard, retourne dans son domicile à Thonon. Le mercredi, il prend un taxi seul pour aller faire de la chimiothérapie.
Mi mars à début avril, il n'a plus le courage de suivre la chimio et se laisse mourir de faim chez lui.
Pendant cette période de 6 mois, personne ne s'est déplacé pour lui rendre visite ou l'aider alors que toute la famille connaissait son état de santé hormis:
- Barbara Gorjux et moi même: 4 visites en 6 mois seulement.
Début avril, il est hospitalisé dans un état critique. Comme par magie, beaucoup se déplacent à Thonon pour voir un cadavre sur son lit d'hôpital (ou pour préparer sa succession, organiser une messe contre sa volonté):
- son ex femme Michele chatard
- sa fille marie line couture
- sa maitresse micheline Dizma "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le lundi 17 juin 2024 à 20h15
" La succession de Jacques Chatard est ouverte chez:
Maitre Jourdan Philippe
180 Cr Émile-Zola
69100 Villeurbanne
Les anciennes prostituées de Clermont-Ferrand et de Lyon peuvent faire valoir leurs créances en envoyant une note de frais à l'étude. "
Maitre Jourdan Philippe
180 Cr Émile-Zola
69100 Villeurbanne
Les anciennes prostituées de Clermont-Ferrand et de Lyon peuvent faire valoir leurs créances en envoyant une note de frais à l'étude. "
Message de emmanuel chatard
Publié le lundi 17 juin 2024 à 18h56
" Il se cache dans l'ombre, craintif et tremblant,
Son cœur rempli de peur, son esprit vacillant.
Il n'ose jamais se lever, jamais se battre,
Contre les injustices, il ne fait que blatérer.
Il se moque des faibles, il les piétine sans vergogne,
Mais devant les puissants, il s'incline, il s'aplatit, sans borne.
Il trahit ses amis, il vend sa conscience,
Pour quelques pièces d'or, il perd son innocence.
Il est l'incarnation de la lâcheté,
Un être méprisable, plein de fausseté.
Que personne ne le plaigne, qu'il reste dans l'ombre,
Son nom sera oublié, effacé de l'histoire, sans encombre. "
Son cœur rempli de peur, son esprit vacillant.
Il n'ose jamais se lever, jamais se battre,
Contre les injustices, il ne fait que blatérer.
Il se moque des faibles, il les piétine sans vergogne,
Mais devant les puissants, il s'incline, il s'aplatit, sans borne.
Il trahit ses amis, il vend sa conscience,
Pour quelques pièces d'or, il perd son innocence.
Il est l'incarnation de la lâcheté,
Un être méprisable, plein de fausseté.
Que personne ne le plaigne, qu'il reste dans l'ombre,
Son nom sera oublié, effacé de l'histoire, sans encombre. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le vendredi 14 juin 2024 à 17h40
" Je me pose souvent cette question:
être une carpette, un lâche, un radin, un péteux, un benêt moitié autiste moitié schizophrène.
C'est héréditaire ou ça vient de l'éducation ? 50/50 probablement. "
être une carpette, un lâche, un radin, un péteux, un benêt moitié autiste moitié schizophrène.
C'est héréditaire ou ça vient de l'éducation ? 50/50 probablement. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le jeudi 13 juin 2024 à 21h23
" Les principales transactions parentales psychologiquement abusives correspondent à :
• des attentes irréelles et démesurées concernant le comportement de l’enfant (dans les domaines scolaires, sportifs, culturels, intellectuels, scientifiques, artistiques, etc);
• des qualifications erronées et/ou déplacées (stupide, menteur, affreux, mauvais, fou, bête, pourri, etc.);
• des humiliations répétées en présence des autres (enseignants, pairs, amis, voisins, proches, etc.);
• des perceptions déformées et/ou délirantes (inversion des rôles, relations perverses, persécution, méfiance, suspicion, etc.)
D’après Valérie RENOUX, ces parents ont tendance à avoir des enfants qui sont étouffés dans leur capacité à résoudre les problèmes de façon créative et sont plus susceptibles de recourir à des moyens unilatéraux ou antisociaux pour résoudre les conflits.
Je ne trouve pas cette théorie parfaitement exacte : les 3 enfants ont tous laisser crever leur père de faim, seul pendant sa chimio. Il s’agit bien d’une preuve de créativité non ? "
• des attentes irréelles et démesurées concernant le comportement de l’enfant (dans les domaines scolaires, sportifs, culturels, intellectuels, scientifiques, artistiques, etc);
• des qualifications erronées et/ou déplacées (stupide, menteur, affreux, mauvais, fou, bête, pourri, etc.);
• des humiliations répétées en présence des autres (enseignants, pairs, amis, voisins, proches, etc.);
• des perceptions déformées et/ou délirantes (inversion des rôles, relations perverses, persécution, méfiance, suspicion, etc.)
D’après Valérie RENOUX, ces parents ont tendance à avoir des enfants qui sont étouffés dans leur capacité à résoudre les problèmes de façon créative et sont plus susceptibles de recourir à des moyens unilatéraux ou antisociaux pour résoudre les conflits.
Je ne trouve pas cette théorie parfaitement exacte : les 3 enfants ont tous laisser crever leur père de faim, seul pendant sa chimio. Il s’agit bien d’une preuve de créativité non ? "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le jeudi 13 juin 2024 à 21h02
" Être parent quand on a été maltraité par des parents lâches, pervers, délirants ou mythomane, radins.
Saviez-vous que le tiers des futurs parents qui attendent leur premier bébé ont vécu de la maltraitance quand ils étaient enfants? Il est fréquent, quand on a eu une enfance difficile, d’avoir peur de reproduire ce qu’on a vécu. Mais qu’en est-il au juste?
Une adaptation possible
Les nouveaux parents qui ont été maltraités lorsqu’ils étaient enfants sont souvent plus fragiles. Toutefois, même s’il peut être plus difficile pour eux de s’adapter à la vie de parent, la plupart s’en sortiraient bien.
Il est ainsi tout à fait possible d’être un bon parent même si on a vécu des abus physiques ou sexuels, ou qu’on a été témoin de violence conjugale, de consommation abusive de drogues ou d’alcool, ou de problèmes de santé mentale durant notre enfance.
L’importance d’avoir du soutien
Il est toutefois important de prendre conscience des conséquences des traumatismes vécus durant l’enfance. Cela permet de mieux comprendre ses émotions et, surtout, de trouver des moyens pour réduire les impacts de la maltraitance.
La majorité des parents qui ont vécu de la maltraitance ne reproduiront pas les comportements dont ils ont été victimes.
Ce travail de réflexion, surtout s’il est fait avec un intervenant, un psychologue ou un travailleur social par exemple, diminue grandement le risque d’être violent à son tour. Le soutien aimant de l’entourage, qu’il s’agisse de membres de la famille ou d’amis, aide aussi à sortir du cycle de la violence.
Santé à risque
Il faut cependant savoir que le risque de souffrir de dépression et d’anxiété, et d’abuser de drogues et d’alcool est plus élevé quand on a été maltraité. La grossesse est une période particulièrement sensible puisqu’elle peut faire remonter certains souvenirs difficiles et augmenter certains symptômes chez la femme qui a vécu un traumatisme durant l’enfance (ex. : cauchemars, méfiance, colère, irritabilité, isolement).
Des études ont aussi montré qu’un parent qui a vécu plusieurs formes de maltraitance a plus de risque de développer des problèmes de santé à l’âge adulte. Par exemple, une femme enceinte qui a subi plusieurs abus durant son enfance est plus à risque de souffrir de diabète de grossesse et d’hypertension, et de mettre au monde un bébé prématuré ou ayant des retards de développement.
Des effets à long terme
Certains événements stressants ou violents vécus durant l’enfance affectent aussi la façon dont le corps réagit. Par exemple, de fréquents abus durant l’enfance forcent le cerveau à demeurer constamment vigilant et à anticiper le prochain épisode de violence. L’organisme d’un enfant maltraité s’adapte donc afin de survivre dans un environnement potentiellement dangereux.
Ces modifications dans la façon dont le corps et le cerveau réagissent au stress peuvent se maintenir à l’âge adulte. Elles peuvent aussi influencer le développement du fœtus et, plus tard, de l’enfant, même si celui-ci ne vit pas d’abus ou de négligence. Ainsi, certains enfants nés de parents maltraités durant l’enfance peuvent être anxieux et avoir des troubles de comportement ou un tempérament difficile.
Il ne faut surtout pas se sentir coupable de cette situation. Il est possible de diminuer les effets sur l’enfant en lui procurant de bons soins, un environnement aimant et rassurant ainsi qu’un bon encadrement. "
Saviez-vous que le tiers des futurs parents qui attendent leur premier bébé ont vécu de la maltraitance quand ils étaient enfants? Il est fréquent, quand on a eu une enfance difficile, d’avoir peur de reproduire ce qu’on a vécu. Mais qu’en est-il au juste?
Une adaptation possible
Les nouveaux parents qui ont été maltraités lorsqu’ils étaient enfants sont souvent plus fragiles. Toutefois, même s’il peut être plus difficile pour eux de s’adapter à la vie de parent, la plupart s’en sortiraient bien.
Il est ainsi tout à fait possible d’être un bon parent même si on a vécu des abus physiques ou sexuels, ou qu’on a été témoin de violence conjugale, de consommation abusive de drogues ou d’alcool, ou de problèmes de santé mentale durant notre enfance.
L’importance d’avoir du soutien
Il est toutefois important de prendre conscience des conséquences des traumatismes vécus durant l’enfance. Cela permet de mieux comprendre ses émotions et, surtout, de trouver des moyens pour réduire les impacts de la maltraitance.
La majorité des parents qui ont vécu de la maltraitance ne reproduiront pas les comportements dont ils ont été victimes.
Ce travail de réflexion, surtout s’il est fait avec un intervenant, un psychologue ou un travailleur social par exemple, diminue grandement le risque d’être violent à son tour. Le soutien aimant de l’entourage, qu’il s’agisse de membres de la famille ou d’amis, aide aussi à sortir du cycle de la violence.
Santé à risque
Il faut cependant savoir que le risque de souffrir de dépression et d’anxiété, et d’abuser de drogues et d’alcool est plus élevé quand on a été maltraité. La grossesse est une période particulièrement sensible puisqu’elle peut faire remonter certains souvenirs difficiles et augmenter certains symptômes chez la femme qui a vécu un traumatisme durant l’enfance (ex. : cauchemars, méfiance, colère, irritabilité, isolement).
Des études ont aussi montré qu’un parent qui a vécu plusieurs formes de maltraitance a plus de risque de développer des problèmes de santé à l’âge adulte. Par exemple, une femme enceinte qui a subi plusieurs abus durant son enfance est plus à risque de souffrir de diabète de grossesse et d’hypertension, et de mettre au monde un bébé prématuré ou ayant des retards de développement.
Des effets à long terme
Certains événements stressants ou violents vécus durant l’enfance affectent aussi la façon dont le corps réagit. Par exemple, de fréquents abus durant l’enfance forcent le cerveau à demeurer constamment vigilant et à anticiper le prochain épisode de violence. L’organisme d’un enfant maltraité s’adapte donc afin de survivre dans un environnement potentiellement dangereux.
Ces modifications dans la façon dont le corps et le cerveau réagissent au stress peuvent se maintenir à l’âge adulte. Elles peuvent aussi influencer le développement du fœtus et, plus tard, de l’enfant, même si celui-ci ne vit pas d’abus ou de négligence. Ainsi, certains enfants nés de parents maltraités durant l’enfance peuvent être anxieux et avoir des troubles de comportement ou un tempérament difficile.
Il ne faut surtout pas se sentir coupable de cette situation. Il est possible de diminuer les effets sur l’enfant en lui procurant de bons soins, un environnement aimant et rassurant ainsi qu’un bon encadrement. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le jeudi 13 juin 2024 à 00h15
" La solitude tue prématurément (et il a bien mérité sa solitude).
Sciences et Avenir
16 novembre 2023
Une étude menée par l'université de Glasgow met en évidence que des personnes isolées et seules ont un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires et de mort précoce.
La solitude est un fléau depuis longtemps, même dans notre société actuelle, pourtant très connectée. D'après une étude parue dans la revue BMC Medicine le 10 novembre 2023, une équipe de chercheurs, menée par Hamish M. E. Foster, médecin de l'institut de santé et du bien-être de l'université de Glasgow (Ecosse), la solitude est malheureusement un facteur de mortalité prématurée.
Plusieurs composantes sociales étudiées
Cette étude a été réalisée avec l'appui de Biobank, une base de données biomédicales à grande échelle et une ressource de recherche contenant des informations sur la génétique, le mode de vie et la santé, ainsi que des échantillons biologiques d'un demi-million de participants britanniques. Elle se base sur plusieurs critères de connexions sociales (deux de solitude et trois d'isolement), comme la fréquence des confidences faites à un proche versus la fréquence de sentiment de solitude ou encore la visite de la famille et des amis, les activités de groupes ou le fait de vivre seul. Le but étant de mesurer à l'aide de tests et d'échelles le degré d'interaction sociales des participants.
Une cohorte de 458.146 personnes a été utilisée, en prenant en compte les différences sociales des individus comme leur âge, leur sexe, leur niveau de consommation de tabac ou d'alcool, etc. "Nous avons également essayé de prendre en compte de nombreux autres facteurs susceptibles d'expliquer ces résultats, tels que l'âge des personnes, leur sexe, leur statut socio-économique, le fait qu'elles soient fumeuses (pour limiter les biais d'interprétation, ndlr). Même après avoir éliminé ces facteurs de l'équation, il est apparu que ces liens sociaux étaient importants pour le risque de décès," nous explique le docteur Hamish M. E. Foster. "
Sciences et Avenir
16 novembre 2023
Une étude menée par l'université de Glasgow met en évidence que des personnes isolées et seules ont un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires et de mort précoce.
La solitude est un fléau depuis longtemps, même dans notre société actuelle, pourtant très connectée. D'après une étude parue dans la revue BMC Medicine le 10 novembre 2023, une équipe de chercheurs, menée par Hamish M. E. Foster, médecin de l'institut de santé et du bien-être de l'université de Glasgow (Ecosse), la solitude est malheureusement un facteur de mortalité prématurée.
Plusieurs composantes sociales étudiées
Cette étude a été réalisée avec l'appui de Biobank, une base de données biomédicales à grande échelle et une ressource de recherche contenant des informations sur la génétique, le mode de vie et la santé, ainsi que des échantillons biologiques d'un demi-million de participants britanniques. Elle se base sur plusieurs critères de connexions sociales (deux de solitude et trois d'isolement), comme la fréquence des confidences faites à un proche versus la fréquence de sentiment de solitude ou encore la visite de la famille et des amis, les activités de groupes ou le fait de vivre seul. Le but étant de mesurer à l'aide de tests et d'échelles le degré d'interaction sociales des participants.
Une cohorte de 458.146 personnes a été utilisée, en prenant en compte les différences sociales des individus comme leur âge, leur sexe, leur niveau de consommation de tabac ou d'alcool, etc. "Nous avons également essayé de prendre en compte de nombreux autres facteurs susceptibles d'expliquer ces résultats, tels que l'âge des personnes, leur sexe, leur statut socio-économique, le fait qu'elles soient fumeuses (pour limiter les biais d'interprétation, ndlr). Même après avoir éliminé ces facteurs de l'équation, il est apparu que ces liens sociaux étaient importants pour le risque de décès," nous explique le docteur Hamish M. E. Foster. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le vendredi 07 juin 2024 à 18h17
" Quand ils sont tout neufs,
Qu'ils sortent de l'œuf,
Du cocon,
Tous les jeun's blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons.
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenu’s,
Des grisons,
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons.
Moi, qui balance entre deux âges,
J' leur adresse à tous un message :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Vous, les cons naissants,
Les cons innocents,
Les jeun's cons
Qui, n' le niez pas,
Prenez les papas
Pour des cons,
Vous, les cons âgés,
Les cons usagés,
Les vieux cons
Qui, confessez-le,
Prenez les p'tits bleus
Pour des cons,
Méditez l'impartial message
D'un qui balance entre deux âges :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan. "
Qu'ils sortent de l'œuf,
Du cocon,
Tous les jeun's blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons.
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenu’s,
Des grisons,
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons.
Moi, qui balance entre deux âges,
J' leur adresse à tous un message :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Vous, les cons naissants,
Les cons innocents,
Les jeun's cons
Qui, n' le niez pas,
Prenez les papas
Pour des cons,
Vous, les cons âgés,
Les cons usagés,
Les vieux cons
Qui, confessez-le,
Prenez les p'tits bleus
Pour des cons,
Méditez l'impartial message
D'un qui balance entre deux âges :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le jeudi 06 juin 2024 à 00h13
" Les déchetteries désormais équipées de bennes permettant de se débarrasser des urnes funéraires et de leurs cendres. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le samedi 25 mai 2024 à 17h21
" C’est quoi une "famille toxique" ?
Une famille peut être toxique lorsqu’il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu’ils devraient être.
- problèmes de communication : des familles où la communication est absente. Chaque membre est indépendant et on partage des espaces communs. Les gens ont tendance à être autosuffisants mais manquent d’un lien affectif ;
- manipulation émotionnelle : des familles où le chantage émotionnel, la tromperie ou la manipulation sont utilisés pour obtenir l’affection d’autrui. Un exemple est les cas d’aliénation parentale, où le père ou la mère parlent mal de l’autre parent dans le but de former une alliance contre l’autre personne ;
- distance émotionnelle : il y a des familles où les parents répondent au mieux aux besoins primaires de leurs enfants. Il ne manquera jamais de nourriture, de livres ou même de petits caprices, mais, malgré cela, la relation émotionnelle sera froide. Il n’y aura ni étreintes, ni baisers, ni gestes d’affection, ni soutien, ni compréhension. De cette façon, les enfants grandissent sans une figure d’attachement sûre. Ils sentent qu’ils ne sont pas légitimes à la fois en tant qu’enfants et en tant que personnes ;
- conflits constants : dans ces familles, le manque de respect ou même la violence physique ou verbale sont plutôt habituels. Ces comportements peuvent se manifester aussi bien entre les parents qu’entre le père ou la mère et un enfant et entre frères et sœurs. Les conflits constants peuvent rendre la famille toxique ;
- l’échange des rôles familiaux : dans certains cas, les parents se comportent de manière plus immature et infantile que leurs enfants et ce sont eux qui doivent marquer les limites de leurs parents. En d’autres occasions, il peut arriver que l’un des enfants fasse une alliance avec l’un des parents et finisse par se comporter non plus comme un enfant mais comme le partenaire du père ou de la mère.
Quelles sont les conséquences d’une "famille toxique" ?
Il est assez habituel que des troubles de la personnalité ou d’autres troubles psychologiques apparaissent chez les personnes qui vivent dans un environnement toxique. Les principaux problèmes sont les suivants :
- faible estime de soi ;
- sentiment d’infériorité ;
- ne pas se sentir digne d’affection ;
- ne pas savoir résoudre les conflits;
- éviter l’affection ou développer une dépendance émotionnelle. "
Une famille peut être toxique lorsqu’il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu’ils devraient être.
- problèmes de communication : des familles où la communication est absente. Chaque membre est indépendant et on partage des espaces communs. Les gens ont tendance à être autosuffisants mais manquent d’un lien affectif ;
- manipulation émotionnelle : des familles où le chantage émotionnel, la tromperie ou la manipulation sont utilisés pour obtenir l’affection d’autrui. Un exemple est les cas d’aliénation parentale, où le père ou la mère parlent mal de l’autre parent dans le but de former une alliance contre l’autre personne ;
- distance émotionnelle : il y a des familles où les parents répondent au mieux aux besoins primaires de leurs enfants. Il ne manquera jamais de nourriture, de livres ou même de petits caprices, mais, malgré cela, la relation émotionnelle sera froide. Il n’y aura ni étreintes, ni baisers, ni gestes d’affection, ni soutien, ni compréhension. De cette façon, les enfants grandissent sans une figure d’attachement sûre. Ils sentent qu’ils ne sont pas légitimes à la fois en tant qu’enfants et en tant que personnes ;
- conflits constants : dans ces familles, le manque de respect ou même la violence physique ou verbale sont plutôt habituels. Ces comportements peuvent se manifester aussi bien entre les parents qu’entre le père ou la mère et un enfant et entre frères et sœurs. Les conflits constants peuvent rendre la famille toxique ;
- l’échange des rôles familiaux : dans certains cas, les parents se comportent de manière plus immature et infantile que leurs enfants et ce sont eux qui doivent marquer les limites de leurs parents. En d’autres occasions, il peut arriver que l’un des enfants fasse une alliance avec l’un des parents et finisse par se comporter non plus comme un enfant mais comme le partenaire du père ou de la mère.
Quelles sont les conséquences d’une "famille toxique" ?
Il est assez habituel que des troubles de la personnalité ou d’autres troubles psychologiques apparaissent chez les personnes qui vivent dans un environnement toxique. Les principaux problèmes sont les suivants :
- faible estime de soi ;
- sentiment d’infériorité ;
- ne pas se sentir digne d’affection ;
- ne pas savoir résoudre les conflits;
- éviter l’affection ou développer une dépendance émotionnelle. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le vendredi 24 mai 2024 à 21h18
" Ce sont toujours les mêmes salauds qui avancent la main sur le cœur.
Se rapprocher d'un expirant juste avant qu'il crève: belle coïncidence pour lui piquer son smartphone, sa montre, son RIB.
Dernier acte: aller prier à l'église. Pour l'âme d'un athée ou pour donner une bonne image de soi ? "
Se rapprocher d'un expirant juste avant qu'il crève: belle coïncidence pour lui piquer son smartphone, sa montre, son RIB.
Dernier acte: aller prier à l'église. Pour l'âme d'un athée ou pour donner une bonne image de soi ? "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le mercredi 22 mai 2024 à 20h36
" Irma Mongour (8 septembre 1917 - 6 novembre 1987)
Ce sera encore long mais je te vengerai des ordures qui t’ont fait du mal. "
Ce sera encore long mais je te vengerai des ordures qui t’ont fait du mal. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le mercredi 22 mai 2024 à 14h51
" Je présente mes condoléances à tous les fous de l'univers: ils m'ont élevé, ils ont été ma famille malheureusement.
Dieu c’est un truc pour penser mieux à soi-même et pour ne pas penser aux hommes, pour déserter en somme superbement. Sur ce point je partage les volontés du défunt. "
Dieu c’est un truc pour penser mieux à soi-même et pour ne pas penser aux hommes, pour déserter en somme superbement. Sur ce point je partage les volontés du défunt. "
Message de emmanuel chatard accompagné de photo(s)
Publié le mercredi 22 mai 2024 à 00h49
" Dieu, pardonne à ses enfants de l'avoir laisser mourir dans l'indifférence. "
Message de emmanuel chatard
Publié le mardi 21 mai 2024 à 19h17
" La mort était pour lui un moyen de se faire oublier: il ne voulait ni cérémonie ni église ni prêtres qu'il haïssait par dessus tout.
En septembre, seules Barbara et Melissa l'ont fait hospitaliser quand il n'avait plus la force de sortir de son lit.
En dehors de moi, personne n'est venu le visiter lorsqu'il s'est laissé mourir de faim chez lui après sa chimiothérapie.
La cérémonie religieuse est la preuve que nous vivons dans une société du spectacle.
L'héritage est la preuve que nous aimons davantage un cadavre qu'un vivant.
Emmanuel Chatard "
En septembre, seules Barbara et Melissa l'ont fait hospitaliser quand il n'avait plus la force de sortir de son lit.
En dehors de moi, personne n'est venu le visiter lorsqu'il s'est laissé mourir de faim chez lui après sa chimiothérapie.
La cérémonie religieuse est la preuve que nous vivons dans une société du spectacle.
L'héritage est la preuve que nous aimons davantage un cadavre qu'un vivant.
Emmanuel Chatard "