Avis de décès de Monsieur gérard ANTOINE
Publié le 18 avril 2022 à Hyères
gérard antoine
Né le 25 août 1938
Décédé à Hyères
le 18 avril 2022 à l'âge de 83 ans
le 18 avril 2022 à l'âge de 83 ans
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08 00 18 17 00
12 Place Jean Mermoz
83120 Sainte-Maxime
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Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
gérard ANTOINE
survenu le lundi 18 avril 2022, à l'âge de 83 ans.
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Avec toute notre affection.
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32 hommages ont été rendus :
Message de Huguette ANTOINE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" ANTOINE Jean-Marc Né, en JUIN 1944 à ALGER OU ES-TU ? nous t'avons cherché, mais pas trouvé, le téléphone
Arabe n'a pas fonctionné. Gérard ton grand frère est parti rejoindre toutes les personnes qu'il aimait.
A BIENTOT peut-être ! " Huguette ANTOINE" "
Arabe n'a pas fonctionné. Gérard ton grand frère est parti rejoindre toutes les personnes qu'il aimait.
A BIENTOT peut-être ! " Huguette ANTOINE" "
Message de Huguette ANTOINE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" SEVERIAN, HUGO, ELIOT - Je suis désolée pour vous, vous n'avez pu être avec nous pour le départ de PAPINOU, c'était
indépendant de votre volonté, (Martinique et éloignement) - PAPINOU, vous aime et vous aimera toujours, vous le savez.
PAPINOU - MAMINOU "
indépendant de votre volonté, (Martinique et éloignement) - PAPINOU, vous aime et vous aimera toujours, vous le savez.
PAPINOU - MAMINOU "
Message de Huguette ANTOINE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Message : Nous avons reçu un magnifique bouquet de la part de Murielle, Philippe, Myriam et Guillaume -Interflora- nous vous en remercions mais qui êtes vous ? : des amis ? de la famille éparpillée ? "
Message de MAMINOU
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Merci ma jolie poupée Analéa, pour ce message qui me fait du bien - qui nous fait du bien à tous. MAMINOU "
Message de Analéa
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Les faux regards sévères quand j’ouvrais le tiroir à sucrerie à crolles.
Les guilis au genoux.
Tes éternuements qui me faisaient tout le temps sursauter.
Tes regards remplis de douceur quand Maminou te disais « regarde comme elle est belle ma Poupée »
Les étés au cap d’Agde, où, tout les quatre, Toi, Maminou, Andjel et moi, nous mangions sur la terrasse.
Samedi 19 mars, avec Papa et Maminou on est venu te rendre visite, la dernière fois que je te voyais, et tu m’a souris.. tu m’as souris pendant un long moment, un sourire plein de fierté.
Merci Papinou pour ce dernier moment passé avec toi, heureux de voir sa petite fille.
Merci pour tout ces souvenirs que tu m’as laissé.
Tu me manques.
T’a petite fille "
Les guilis au genoux.
Tes éternuements qui me faisaient tout le temps sursauter.
Tes regards remplis de douceur quand Maminou te disais « regarde comme elle est belle ma Poupée »
Les étés au cap d’Agde, où, tout les quatre, Toi, Maminou, Andjel et moi, nous mangions sur la terrasse.
Samedi 19 mars, avec Papa et Maminou on est venu te rendre visite, la dernière fois que je te voyais, et tu m’a souris.. tu m’as souris pendant un long moment, un sourire plein de fierté.
Merci Papinou pour ce dernier moment passé avec toi, heureux de voir sa petite fille.
Merci pour tout ces souvenirs que tu m’as laissé.
Tu me manques.
T’a petite fille "
Message de Ghyslaine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Papa, Si grand et si fragile, Si fort et si doux
La vie ne t’a pas épargné…
Après une enfance sans beaucoup d’amour,
Orphelin de père alors que tu n’es qu’un petit garçon,
Une mère absente,
Une enfance déchirée dont tu nous parlais si peu, voire jamais.
Tu pars de la maison très jeune : tout juste 11 ans !
Ta mère t’envoie dans les Enfants de Troupe, comme Pupille de la Nation jusqu’à tes 16 ans.
Tu rentres seulement pendant les vacances mais toujours chez ta grand-mère maternelle.
A 16 ans, tu t’engages dans l’Armée de l’Air et tu pars faire tes études supérieures à Rochefort.
Puis départ pour la Tunisie à la fin de tes études et c’est pendant une permission chez ta grand-mère à Alger que tu rencontres Maman dont tu tombes amoureux et avec laquelle tu vas correspondre pendant des mois et que tu retrouves lors de tes permissions.
J’ai l’impression que ta vie commence là…
Ce qui précède, ton enfance, explique tellement l’adulte que tu vas devenir, discret, humble, introverti, ne laissant paraitre que si peu d’émotion mais on voyait dans ton regard si bleu, comme un ciel délavé de fin d’été tout ce que tu ne pouvais pas nous dire.
Puis rencontre avec la famille Olives, Roland le terrible petit frère qui négocie son silence en vous espionnant, Annie, Bernard, les cousins et cousines et pépé et mémé.
Les piques-niques, la plage, les soirée… la Dolce Vita !!!
Mais la menace plane déjà au-dessus de vos têtes : LA GUERRE.
Puis c’est l’exode, le départ d’Algérie, Terre tans aimée, de plusieurs centaines de milliers de Français :
« La valise ou le cercueil ».
La trahison des élites, la suspicion, les difficultés innombrables et l’hostilité amplifiée par la propagande vous présentant comme de riches colons. Les loyers prohibitifs pour des logements insalubres.
L’incompréhension, les pleurs des Anciens.
Mais vous vous retroussez les manches, pas le temps pour vous apitoyer sur votre sort ou vous victimiser, vous êtes des battants…
Vous aviez tout perdu, vous avez tout reconstruit grâce à votre courage, votre solidarité, votre force.
Grenoble ne sera pas une ville de coeur mais c’est là où nous vivons, où nous grandissons.
La vie normale, les repas de famille extravagants où l’on crie et l’on rit. On parle politique, Algérie, on se dispute, on s’embrasse…
Mémé si généreuse qui t’a adopté, comme pépé… Je sais qu’ils t’aimaient profondément comme leur propre fils. Je sais que tu es avec eux maintenant et que tu vas beaucoup nous manquer.
Mais tu fais tellement partie de nous que je sens ta présence si forte et que tu nous accompagnes en ce moment de façon plus vibrante que ces derniers temps où tu n’étais plus que l’ombre de toi-même.
Nous sommes soulagés de te savoir enfin libre et avec eux nous regardant avec tout votre Amour, un grand sourire illuminant ton visage si beau, un lait de tigre à la main, une part de coca dans l’autre.
Peut-être retrouveras-tu ton père aussi, mort si tôt et cette famille paternelle que tu n’as pas connu…
Et viendront les moments d’explications et j’espère d’apaisement pour toi.
Garde un oeil sur tes petits enfants, Séverian, Hugo, Eliot trop loin, qui n’ont pas pu être présents mais t’accompagnent dans leur coeur, Andjel, Analéa et Titouan qui t’aiment tant.
Apporte leur sagesse parfois,
Donne leur confiance en eux, toujours,
Guide les dans leur choix, souvent.
Tes enfants et petits enfants qui t'aiment... "
La vie ne t’a pas épargné…
Après une enfance sans beaucoup d’amour,
Orphelin de père alors que tu n’es qu’un petit garçon,
Une mère absente,
Une enfance déchirée dont tu nous parlais si peu, voire jamais.
Tu pars de la maison très jeune : tout juste 11 ans !
Ta mère t’envoie dans les Enfants de Troupe, comme Pupille de la Nation jusqu’à tes 16 ans.
Tu rentres seulement pendant les vacances mais toujours chez ta grand-mère maternelle.
A 16 ans, tu t’engages dans l’Armée de l’Air et tu pars faire tes études supérieures à Rochefort.
Puis départ pour la Tunisie à la fin de tes études et c’est pendant une permission chez ta grand-mère à Alger que tu rencontres Maman dont tu tombes amoureux et avec laquelle tu vas correspondre pendant des mois et que tu retrouves lors de tes permissions.
J’ai l’impression que ta vie commence là…
Ce qui précède, ton enfance, explique tellement l’adulte que tu vas devenir, discret, humble, introverti, ne laissant paraitre que si peu d’émotion mais on voyait dans ton regard si bleu, comme un ciel délavé de fin d’été tout ce que tu ne pouvais pas nous dire.
Puis rencontre avec la famille Olives, Roland le terrible petit frère qui négocie son silence en vous espionnant, Annie, Bernard, les cousins et cousines et pépé et mémé.
Les piques-niques, la plage, les soirée… la Dolce Vita !!!
Mais la menace plane déjà au-dessus de vos têtes : LA GUERRE.
Puis c’est l’exode, le départ d’Algérie, Terre tans aimée, de plusieurs centaines de milliers de Français :
« La valise ou le cercueil ».
La trahison des élites, la suspicion, les difficultés innombrables et l’hostilité amplifiée par la propagande vous présentant comme de riches colons. Les loyers prohibitifs pour des logements insalubres.
L’incompréhension, les pleurs des Anciens.
Mais vous vous retroussez les manches, pas le temps pour vous apitoyer sur votre sort ou vous victimiser, vous êtes des battants…
Vous aviez tout perdu, vous avez tout reconstruit grâce à votre courage, votre solidarité, votre force.
Grenoble ne sera pas une ville de coeur mais c’est là où nous vivons, où nous grandissons.
La vie normale, les repas de famille extravagants où l’on crie et l’on rit. On parle politique, Algérie, on se dispute, on s’embrasse…
Mémé si généreuse qui t’a adopté, comme pépé… Je sais qu’ils t’aimaient profondément comme leur propre fils. Je sais que tu es avec eux maintenant et que tu vas beaucoup nous manquer.
Mais tu fais tellement partie de nous que je sens ta présence si forte et que tu nous accompagnes en ce moment de façon plus vibrante que ces derniers temps où tu n’étais plus que l’ombre de toi-même.
Nous sommes soulagés de te savoir enfin libre et avec eux nous regardant avec tout votre Amour, un grand sourire illuminant ton visage si beau, un lait de tigre à la main, une part de coca dans l’autre.
Peut-être retrouveras-tu ton père aussi, mort si tôt et cette famille paternelle que tu n’as pas connu…
Et viendront les moments d’explications et j’espère d’apaisement pour toi.
Garde un oeil sur tes petits enfants, Séverian, Hugo, Eliot trop loin, qui n’ont pas pu être présents mais t’accompagnent dans leur coeur, Andjel, Analéa et Titouan qui t’aiment tant.
Apporte leur sagesse parfois,
Donne leur confiance en eux, toujours,
Guide les dans leur choix, souvent.
Tes enfants et petits enfants qui t'aiment... "
Message de Céline MAURY
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Huguette,
Je suis de tout coeur avec vous et vos enfants. Je comprend bien votre douleur et je sais qu'aucun mot ne peux la soulager.
Je garderai en mémoire le bonheur qu'avait papinou quand il voyait ses petits enfants . Il va falloir laisser le temps faire son oeuvre.
Je vous souhaite de retrouver du bonheur auprès des vôtres. Je vous embrasse et pense bien à vous.
A demain - Céline - "
Je suis de tout coeur avec vous et vos enfants. Je comprend bien votre douleur et je sais qu'aucun mot ne peux la soulager.
Je garderai en mémoire le bonheur qu'avait papinou quand il voyait ses petits enfants . Il va falloir laisser le temps faire son oeuvre.
Je vous souhaite de retrouver du bonheur auprès des vôtres. Je vous embrasse et pense bien à vous.
A demain - Céline - "
Message de Hugo
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" À mon Grand-Père Papinou, tu me manques déjà.
Il y a beaucoup de souvenirs, ces chatouilles sur les genoux, la Martinique, toutes ces fois ou petits nous venions dormir chez vous à Crolles avec mes frères, ces repas de famille, les Noël tous ensemble. Je me souviens en particulier du dernier Noël que nous ayons faits à Froges tous ensemble, l'ambiance était tellement joyeuse, tu t'es épris d'un fou rire pendant que tu buvais ton vin et tu l'as recraché sur toute la table! Qu'est ce que j'avais ris aussi!
Je me souviens il y à un an, pratiquement jour pour jour, ou je suis parti en Martinique, j'étais passé vous voir juste avant mon départ et nous avions tous pleuré de joie et de tristesse en même temps, c'était la première fois que je te voyais pleurer...
Tu resteras à jamais dans mes souvenirs.
Ton petit fils qui vous aime Maminou et toi.
Hugo "
Il y a beaucoup de souvenirs, ces chatouilles sur les genoux, la Martinique, toutes ces fois ou petits nous venions dormir chez vous à Crolles avec mes frères, ces repas de famille, les Noël tous ensemble. Je me souviens en particulier du dernier Noël que nous ayons faits à Froges tous ensemble, l'ambiance était tellement joyeuse, tu t'es épris d'un fou rire pendant que tu buvais ton vin et tu l'as recraché sur toute la table! Qu'est ce que j'avais ris aussi!
Je me souviens il y à un an, pratiquement jour pour jour, ou je suis parti en Martinique, j'étais passé vous voir juste avant mon départ et nous avions tous pleuré de joie et de tristesse en même temps, c'était la première fois que je te voyais pleurer...
Tu resteras à jamais dans mes souvenirs.
Ton petit fils qui vous aime Maminou et toi.
Hugo "
Message de BERNARD OLIVES
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous somme de tout coeur avec vous et partageons votre peine
Toute la famille Olives Bernard Anne Marie enfants petit enfants
Bernard "
Toute la famille Olives Bernard Anne Marie enfants petit enfants
Bernard "
Message de Louise Champourlier
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toutes nos condoléances en ce moment difficile. Nous pensons très très fort à vous.
Nous vous embrassons.
Charlotte et Louise "
Nous vous embrassons.
Charlotte et Louise "
Message de Delphine de Chaisemartin
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Mon cher oncle, avec toi, c’est une partie de mon enfance qui s’en va. Je n’oublierai pas ta grande et belle silhouette que l’on apercevait de loin en arrivant à Saint Jean de Vaux, ton sourire radieux et chaleureux, ta discrétion mais aussi ta grande présence. Que de bons souvenirs, de dîners, barbecues, baignades.
Merci pour tous ces bons moments que nous avons partagés, pour ta joie de vivre et ce sourire que je n’oublierai jamais et qui ne t’a jamais quitté malgré les épreuves. Tarie, je t’embrasse très fort et je pense fort à toi. Affectueusement Delphine. "
Merci pour tous ces bons moments que nous avons partagés, pour ta joie de vivre et ce sourire que je n’oublierai jamais et qui ne t’a jamais quitté malgré les épreuves. Tarie, je t’embrasse très fort et je pense fort à toi. Affectueusement Delphine. "
Message de Huguette ANTOINE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" ROLAND, Gérard t'aimait beaucoup, quand tu es arrivé en France, tu avais 7 ans, il arrivait de Tunisie en permission , il était dans l'armée de l'air, tu l'attendais avec impatience, tu savais qu'il allait te ramener un cadeau, il t'a fait croire qu'il avait oublié, mais non ! tu a eu une mitraillette qui faisait beaucoup de bruit, tu était content, pas de Noël cette année 1962/1963 et les autres années qui ont suivi n'ont pas été facile, idem pour Bernard Annie et les parents. "
Message de Annie durand
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je suis la ma sœur pour accompagner Gérard, je serai toujours auprès de toi pour affronter les moments douloureux de la vie c est la force d un amour fraternel infini entre nous deux "
Message de Huguette ANTOINE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Il est plus de 23 heures, je suis triste, je pleure Gérard d'avant sa maladie, il me manque, je n'avais pas réalisé que
lui aussi est parti , tous les deux vous allez me manquer. "
lui aussi est parti , tous les deux vous allez me manquer. "
Message de Helene et Jean-Pierre
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Me dont revenus tous nos souvenirs d’enfance et d’adolescence dans notre quartier d’Alger où nous avons passé nos plus belles années. La vie ne nous a pas toujours épargnés mais nous avons gardé toujours au cœur cette amitié et plus tard au sein de notre grande famille une affection sincère avec nos enfants et petits enfants. Nos rendez-vous à
Crolles sont encore présents.
A Huguette si forte tout mon amour. "
Crolles sont encore présents.
A Huguette si forte tout mon amour. "
Message de Anne Marie Vial
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Tres sinceres condoleances a toi ghyslaine et ta famille nous vous souhaitons beaucoup de courage pour traverser ce moment difficile de la vie
Recevez toute notre amitie , nous pensons bien a vous
Anne Marie Vial Michel Elise Flora "
Recevez toute notre amitie , nous pensons bien a vous
Anne Marie Vial Michel Elise Flora "
Message de Jacqueline Mazoyer
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toute la famille Mazoyer/Gandini née Olives vous présente ses sincères condoléances pour la perte de notre ami d'enfance, que nous avons connu et apprécié. Je vous embrasse tous.
Jacqueline. "
Jacqueline. "
Message de Frédérique Navarro
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Prendre un être cher est une épreuve difficilement supportable……
Je vous présente à toute la famille mes sincères condoléances, je vous embrasse très affectueusement et pense très fort à vous tous et en particulier à Toi Huguette.
Frédérique Navarro "
Je vous présente à toute la famille mes sincères condoléances, je vous embrasse très affectueusement et pense très fort à vous tous et en particulier à Toi Huguette.
Frédérique Navarro "
Message de Jean-Pierre TORRES
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Gérard,
Je me rappelle très bien de la première fois où je t’ai vu.
Jusqu’à la taille dans la tranchée que tu creusais derrière votre maison à Saint-Jean-De-Vaux.
On aurait dit un pilier, émergeant de sa fondation.
Je me suis dit que vu ta carrure, ta pelle et ton trou il fallait que je fasse gaffe avec ta fille…
Toi et Huguette m’avez accueilli à bras ouvert dans votre famille.
Ah là la, tes « laits de Tigre » !
Après, vous avez toujours été présents.
Discrets mais toujours là pour nous aider dans les coups durs.
Des piliers.
Tes AVC n’ont pu qu’à demi te terrasser !
Tu t’es relevé, as doublé les capacités musculaires de ton côté intact et même si te ne pouvais plus aussi bien parler, tu nous as bien fait comprendre qu’il en fallait plus pour t’abattre.
Je crois qu’après, j’étais le seul à te serrer la main en te tendant la gauche.
Cela te permettait de la serrer sans contorsion, avec force, comme avant.
Et je voyais bien quel plaisir ça te procurait dans l’azur de ton regard.
D’ailleurs, à ces moments-là, je m’en méfiais de ta force : toujours soulagé de récupérer ma main intacte.
Tes maladies ont finies par te rattraper.
Mais là où mes confrères avaient prédits une décennie, il en aura fallu plus de deux et demi pour ce faire.
Huguette, l’autre pilier, t’a soutenu tout ce temps avec force, courage et abnégation.
Vous êtes tous deux de magnifiques exemples pour vos petits-enfants.
Ils peuvent être fiers de vous.
Ils sont fiers de vous.
Il est grand temps Gérard de te reposer.
Il est grand temps pour Huguette aussi, de se reposer.
Je garderai de toi cette première image : c’est celle que je préfère.
Sois en paix maintenant.
JP, ton gendre. "
Je me rappelle très bien de la première fois où je t’ai vu.
Jusqu’à la taille dans la tranchée que tu creusais derrière votre maison à Saint-Jean-De-Vaux.
On aurait dit un pilier, émergeant de sa fondation.
Je me suis dit que vu ta carrure, ta pelle et ton trou il fallait que je fasse gaffe avec ta fille…
Toi et Huguette m’avez accueilli à bras ouvert dans votre famille.
Ah là la, tes « laits de Tigre » !
Après, vous avez toujours été présents.
Discrets mais toujours là pour nous aider dans les coups durs.
Des piliers.
Tes AVC n’ont pu qu’à demi te terrasser !
Tu t’es relevé, as doublé les capacités musculaires de ton côté intact et même si te ne pouvais plus aussi bien parler, tu nous as bien fait comprendre qu’il en fallait plus pour t’abattre.
Je crois qu’après, j’étais le seul à te serrer la main en te tendant la gauche.
Cela te permettait de la serrer sans contorsion, avec force, comme avant.
Et je voyais bien quel plaisir ça te procurait dans l’azur de ton regard.
D’ailleurs, à ces moments-là, je m’en méfiais de ta force : toujours soulagé de récupérer ma main intacte.
Tes maladies ont finies par te rattraper.
Mais là où mes confrères avaient prédits une décennie, il en aura fallu plus de deux et demi pour ce faire.
Huguette, l’autre pilier, t’a soutenu tout ce temps avec force, courage et abnégation.
Vous êtes tous deux de magnifiques exemples pour vos petits-enfants.
Ils peuvent être fiers de vous.
Ils sont fiers de vous.
Il est grand temps Gérard de te reposer.
Il est grand temps pour Huguette aussi, de se reposer.
Je garderai de toi cette première image : c’est celle que je préfère.
Sois en paix maintenant.
JP, ton gendre. "
Message de Andjel Antoine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Mon Papinou, depuis petit, je me souviens de toi avec ton grand sourire, nous regardant avec des yeux brillants ma sœur et moi.
Je ne t'ai pas connu sans ta maladie, mais malgré cela je t'ai toujours connu fort et courageux, je t'admire pour ça.
Les mercredis de mon enfance où nous passions l'après-midi avec toi et Maminou me manque, et resteront gravés dans ma mémoire comme des souvenirs très doux.
Mais ce ne sont pas mes seules pensées agréables. Les anniversaires, les noëls, tous ces moments où la famille était réunie et tu prenais place en bout de table, ta place. Tous ces moments teintés de bonheur.
Tu vas me manquer Papinou ❤️ "
Je ne t'ai pas connu sans ta maladie, mais malgré cela je t'ai toujours connu fort et courageux, je t'admire pour ça.
Les mercredis de mon enfance où nous passions l'après-midi avec toi et Maminou me manque, et resteront gravés dans ma mémoire comme des souvenirs très doux.
Mais ce ne sont pas mes seules pensées agréables. Les anniversaires, les noëls, tous ces moments où la famille était réunie et tu prenais place en bout de table, ta place. Tous ces moments teintés de bonheur.
Tu vas me manquer Papinou ❤️ "
Message de Ghyslaine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Sur ton front d'exilé,
Sur ton enfance abandonnée,
Sur tes années retrouvées
Et ta famille tant aimée,
La tête haute d'un pied noir,
A sa terre arraché,
J'écris ton nom : Papa "
Sur ton enfance abandonnée,
Sur tes années retrouvées
Et ta famille tant aimée,
La tête haute d'un pied noir,
A sa terre arraché,
J'écris ton nom : Papa "
Message de Valérie Vial
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je suis de tout coeur avec vous tous pour vous accompagner dans ce moment difficile , douloureux. Je pense bien à vous
et Patrick se joint à moi pour vous adresser nos sincères condoléances.
Je vous embrasse avec toute mon affection et toute mon amitié
Bien belle photo !
Bien à vous
Patrick et Valérie "
et Patrick se joint à moi pour vous adresser nos sincères condoléances.
Je vous embrasse avec toute mon affection et toute mon amitié
Bien belle photo !
Bien à vous
Patrick et Valérie "
Message de HUGUETTE
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je t'aime Gérard, je t'ai toujours aimé, ne l'oublie jamais - GEORGIA - (Ray Charles) - tu te souviens !!!
Notre famille nous l' avons crée, une magnifique fille Ghyslaine un amour de gentillesse - Jean-Christophe, sensible, sportif, travailleur, tout en émotion. Vous nous avez donné six petits enfants : Severian - Hugo - Eliot - Andjel - Analéa - Titouan - pour eux nous sommes Papinou et Maminou - nous sommes qu'AMOUR pour vous , et cet amour vous nous le rendez au centuple.
A bientôt Gérard, je t'embrasse tendrement, je vais signer Nine puisque pendant des années ( plus de 60 ans) c'était le nom que tu me donnais. "
Notre famille nous l' avons crée, une magnifique fille Ghyslaine un amour de gentillesse - Jean-Christophe, sensible, sportif, travailleur, tout en émotion. Vous nous avez donné six petits enfants : Severian - Hugo - Eliot - Andjel - Analéa - Titouan - pour eux nous sommes Papinou et Maminou - nous sommes qu'AMOUR pour vous , et cet amour vous nous le rendez au centuple.
A bientôt Gérard, je t'embrasse tendrement, je vais signer Nine puisque pendant des années ( plus de 60 ans) c'était le nom que tu me donnais. "
Message de Jean-Christophe
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Mon papa, ce roc fissuré, mon père, rude mais cœur d’or avec le regard tueur parfois, et enjoliveur souvent.
Tu as regardé Analéa, ta petite fille, il y a quelques semaines, avec émerveillement comme tu savais si bien le faire. Tes 6 petits enfants t’appelaient Papinou, tu en étais très fier et eux aussi. Mais tu étais aussi le tonton Gérard ou tonton ou Gérard tout simplement.
Je rigolais quand Tonton Roland t’appelait affectueusement cuisses de mouche ou mollets de fourmis. Réservé, tu lui souriais comme tu savais le faire lors des repas familiaux avec ton verre de pastis ou d‘anisette fait maison et du pain frais avec de la soubressade.
J’y ai souvenir de ma maman plus discrète, mais toujours présente. Elle est devenue de plus en présente pour toi avec la maladie, et pour nous tous aussi. Je pense fort à elle aussi en ce moment.
J’ai plein d’anecdotes sur toi, à partager pour les plus jeunes ou à rappeler pour les plus anciens, par exemple, quand tu es tombé d’une falaise en Algérie, et que tu as été laissé pour mort, mais tu t’es relevé, déjà et encore une fois, pour rentrer chez toi.
Cette fois, tu ne rentreras pas, tu vas nous manquer, tu me manques déjà.
Tu avais un gros cœur, cela tombe bien, moi aussi, il y aura toujours une place pour toi.
Ton fils "
Tu as regardé Analéa, ta petite fille, il y a quelques semaines, avec émerveillement comme tu savais si bien le faire. Tes 6 petits enfants t’appelaient Papinou, tu en étais très fier et eux aussi. Mais tu étais aussi le tonton Gérard ou tonton ou Gérard tout simplement.
Je rigolais quand Tonton Roland t’appelait affectueusement cuisses de mouche ou mollets de fourmis. Réservé, tu lui souriais comme tu savais le faire lors des repas familiaux avec ton verre de pastis ou d‘anisette fait maison et du pain frais avec de la soubressade.
J’y ai souvenir de ma maman plus discrète, mais toujours présente. Elle est devenue de plus en présente pour toi avec la maladie, et pour nous tous aussi. Je pense fort à elle aussi en ce moment.
J’ai plein d’anecdotes sur toi, à partager pour les plus jeunes ou à rappeler pour les plus anciens, par exemple, quand tu es tombé d’une falaise en Algérie, et que tu as été laissé pour mort, mais tu t’es relevé, déjà et encore une fois, pour rentrer chez toi.
Cette fois, tu ne rentreras pas, tu vas nous manquer, tu me manques déjà.
Tu avais un gros cœur, cela tombe bien, moi aussi, il y aura toujours une place pour toi.
Ton fils "
Message de Roland Olives
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" j'ai perdu un être cher qui m'a fait connaître la bière Fisher à l'âge de 7 ans
le but était de pouvoir courtiser ma soeur ,car j'étais l'espion de mon père pour les surveiller. Avec tout l'amour que j'ai eu pour lui pendant ces longues années il va beaucoup me manquer .Tonton Roland qui vous aime très fort et qui s'associe avec vous à cette profonde douleur . "
le but était de pouvoir courtiser ma soeur ,car j'étais l'espion de mon père pour les surveiller. Avec tout l'amour que j'ai eu pour lui pendant ces longues années il va beaucoup me manquer .Tonton Roland qui vous aime très fort et qui s'associe avec vous à cette profonde douleur . "
Message de Ghyslaine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" J'ai ce souvenir, c'est amusant c'est celui qui me vient à l'esprit en premier, peut-être parce que c'était des années insouciantes de mon enfance. Nous étions à un pique-nique avec Annie et Henri (Stéphanie devait être encore en gestation), Delphine avait tout juste 2 ans. Nous étions Jean-Christophe, Delphine et moi au bord de la rivière et Delphine a été emportée dans son élan en jetant une pierre trop grosse (j'avais du la taquiner sur la taille de ses projectiles !). Elle se noyait devant mes yeux, je n'avais plus pied et je n'arrivais pas à l'atteindre, je criais et les badauds nous regardaient sans réaction et tout à coup mon père a surgit et l'a empoignée pour la prendre dans ses bras et la consoler... "
Message de Ghyslaine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Mon petit Papa, si fort, si beau. Je t'aime tellement et je n'arrive pas encore à réaliser à quel point tu vas me manquer. tu vas retrouver Pépé et Mémé qui t'aimaient tant et qui t'avaient totalement adopté comme leur propre fils et puis tes parents, ton père si peu connu, mort alors que tu n'étais encore qu'un petit garçon et qui a du tellement te manquer et une maman si peu conventionnelle ! Tu étais tellement discret sur ton enfance, toujours emprunt d'une pudeur extrême dans tes sentiments mais un sourire dévastateur, lumineux et magnifique... La vie ne t'a pourtant pas épargné, une enfance sans beaucoup d'amour et ses 25 dernières années qui ont été un parcours difficile pour vous deux, qui ont mis un point final à tous tes rêves de mer, de bateau, de ballades. Je t'aime et tu vas me manquer. "
Message de Ghyslaine
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous sommes tous très loin les uns des autres et j'avais envie que cette plate forme, à défaut de mardi prochain soit vraiment le lieux de partage pour nous tous et pour Maminou. Nous ferons plus tard, peut être en septembre, un rassemblement plus chaleureux et une dispersion des cendres en Méditerranée entre la France et l'Algérie pour Papinou, Pépé et Mémé. "
Message de Annie et Henri DURAND
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" A la grande famille si unie que tu as dû laisser nous souhaitons que ta force ton courage l'aideront à endurer cette absence si douloureuse et que là ou tu es tu veilleras sur eux . "
Message de Stéphanie Durand
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Un message aussi pour ma tatie qui a pris soin toutes ces années de tonton. Elle a été d'un courage et d'un soutien sans faille apportant tant de réconfort au quotidien de tonton. Tatie, je pense fort à toi et t'embrasse tendrement. Stéphanie "
Message de Annie Henri DURAND
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Cher Gérard,si le destin a été si cruel envers toi ,tu as su le combattre toujours avec le sourire, la force de ton courage nous faisait te croire invincible
tu es parti rejoindre Berthe et Georgeo que nous avons tant aimés peut-être nous retrouverons nous et te reverrons avec ce sourire accueillant que tu n’as jamais perdu même dans les pires épreuves . "
tu es parti rejoindre Berthe et Georgeo que nous avons tant aimés peut-être nous retrouverons nous et te reverrons avec ce sourire accueillant que tu n’as jamais perdu même dans les pires épreuves . "
Message de Stéphanie Durand
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Il était mon tonton Gérard dans notre clan familial si soudé. Sa présence a bercé mes souvenirs d'enfance : dans la maison à Saint-Egrève, à Saint-Jean de Vaux au bord du lac de Laffrey, à Paladru, aux repas avec pépé et mémé. Mon tonton aux yeux bleus, grand et fort. Il me demandait toujours avec son sourire doux et chaleureux si tout allait bien. Même avec la maladie, son visage était lumineux. Je me disais que mon tonton était vraiment très courageux. Aujourd'hui son absence me manque déjà. Comme un repère, un pilier de notre famille si chère - celle qui nous a construits. Il a rejoint mes grands parents adorés. Ensemble, ils nous regardent. Je sais que tonton Gérard sera toujours là pour nous. Son sourire et son courage sont notre force. Ils sont partout en nous, au fond de notre coeur. Merci tonton pour tous ces beaux et doux souvenirs. Stéphanie qui pense très fort à toi "